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Quite à avoir admis que le concept de « nation » prenait racine en moi dans les pochettes un poil ridicules des disques de Heavy Metal de mon adolescence, autant avouer aussi que le titre du précédent post était dû à Duran Duran, qui faisaient aussi partie des groupes qui peuplaient les K7 que je glissais quotidiennement dans mon walkman Sony. Oui, la cohabitation entre Manowar et les peroxydés de Birmingham paraît improbable, mais qu’on se rassure, ils se trouvaient sur des home-made-compilations différentes (il me semble).
Toujours est-il qu’à cause du titre de l’article précédent, j’ai maintenant cet étrange morceau (oui, Duran Duran ne me semble pas réductible à l’usine à tubes bien connue, c’est aussi d’après moi quelques tentatives musicales un peu plus audacieuses, qui mine de rien ne vieillissent pas si mal) dans les neurones. Pour la petite histoire, The seventh stranger se trouve sur deux albums du groupe : Seven and the ragged tiger (1983) et Arena (1984), dans des mixes qui semblent être un poil différents.
Accessoirement, j’aime la capacité qu’a l’anglais à suggérer tout et n’importe quoi. Les textes des chansons anglo-saxonnes me semblent toujours être plus ou moins connectés avec l’univers tout entier. Ainsi, même un refrain de Duran Duran semble parler d’identité, nationale ou pas :
I must be chasing after rainbows
One thing for sure you never answer when I call
And I wipe away the water from my face
To look through the eyes of a stranger
For rumour in the wake of such a lonely crowd
Trading in my shelter for danger
I’m changing my name just as the sun goes down
Walking away like a stranger
From rumours in the wake of such a lonely crowd
Trading in my shelter for danger
I’m changing my name just as the sun goes down
In the eyes of a stranger
On doit être en train de chasser des arcs-en-ciel…