Pour alimenter la petite perspective initiée dans le post précédent, un autre petit montage, qui installera le point de fuite de cet art mineur (on va reparler d’arts mineurs dans le prochain article, vous allez voir pourquoi) un peu au delà du strict évènement du jour. Dans les arts populaires comme dans les autres, les hommes passent, mais les formes demeurent, et en voici une double illustration. Tout d’abord à travers un mix effectué entre des extraits de « Tous en scène », de Minelli (Vincente, pas Liza !) et Smooth Criminal. Bien entendu, l’exercice n’est intéressant que si on connait le clip de Jackson, qui constitue un hommage permanent aux détails des chorégraphies réunissant Astaire et Cyd Charisse. Le second extrait met en scène Michael Jackson lui même, en compagnie des Nicholas Brothers, qui figurent parmi les meilleurs danseurs de claquettes de l’histoire. Il n’est pas complètement inutile, il me semble de ramener le « phénomène » à ses sources, et à ce qu’il en a fait, parce que c’est là que se situe l’essentiel. Et cette essence, on y reviendra dans l’article suivant (oui, je fais du teasing là !).
Ubris
Je vais et je viens, entre Terriens
mimetismes
In MIND STORM, POP MUSIC