Dans le blog de l’outrespace, un petit article sans véritable approfondissement, incitant juste à aller lire Le Tigre (le curieux magazine curieux) de ce mois ci, ne serait ce que pour son article mettant en parallèle la publicité BMW sur la joie et la pensée de Spinoza, pour qui la joie est un concept central. D’un certain point de vue, ce n’est rien. Et en même temps, ça en dit long. C’est par ici que ça se passe : Joyride
Ubris
Je vais et je viens, entre Terriens
Un texte sur Drive, ça s’impose non ? Par delà le bien et le mal…
« A real human being and a real hero… »
Ca fait tellement longtemps que je n’ai pas vu un bon film de bagnoles que je tremble à l’avance de voir celui ci. Et puis, pour ma part, depuis Half Nelson, je sais que Ryan Gosling est un type à suivre. Quand j’aurai fait quelques kilomètres à la place du mort dans sa bagnole, j’en dirai plus. J’espère juste que le casting des voitures est aussi bon que celui des acteurs.
Euh comment dire… Ce qui est bien, entre autres, dans Drive c’est qu’à mon avis le réalisateur n’en a pas grand chose à faire des voitures. Je crois que l’ambiance vitesse, etc., est utile en contre-point du déroulé principal du film. C’est un peu comme l’âne dans Au hasard Balthazar ou le XVIème arrondissement dans Le diable probablement. C’est bien plus du côté de Bresson que de Bullit qu’il faut regarder.